(Don channeling)

[Je suis Hatonn.] Je suis avec vous, mes amis. Je suis ici dans cette pièce. J’utilise cet instrument pour communiquer avec vous. Je réalise que cette forme de communication est un peu étrange, dirais-je, pour certains d’entre vous. Mais, mes amis, si vous voulez bien réfléchir véritablement à ce que vous appelez votre environnement, vous découvrirez qu’il est en vérité au-delà de votre compréhension, alors pourquoi cette communication, comme je l’ai appelée, serait-elle plus étrange que ce que vous découvrez autour de vous?

Mes amis, je ne tenterai pas de vous prouver que je suis, comme vous l’avez dit, un être venu d’une autre planète. Je n’essaierai pas de vous prouver que les mots que vous entendez sont mes pensées plut’t que les pensées de cet instrument. Je vous dirai simplement que nous, vos amis venus de l’espace, sommes là pour vous donner. Voilà notre dessein, mes amis. Non pas de vous offrir des preuves, mais simplement de stimuler vos pensées si cela est possible. Pour cette raison, nous avons choisi de communiquer avec vous d’une façon que vous pourriez qualifier de bizarre. Mais je peux vous assurer qu’il y a de bonnes raisons à cette manière de communiquer.

Moi-même et mes frères qui visitons cette planète en ce moment, ne sommes pas des étrangers à cette planète. Nous sommes venus ici de très nombreuses fois dans votre passé, et nous continuerons à venir visiter votre planète et à travailler avec vos peuples. Nous travaillons avec vos peuples en ce moment même, et de nombreuses manières. Il n’est pas nécessaire que nous entrions en contact avec vos peuples de cette façon-ci pour les aider. La plus grande partie de notre travail est effectuée d’une manière que vous qualifieriez de subconsciente. La plupart d’entre vous n’ont pas conscience de nos contacts. Nous présentons simplement des idées. Ces idées peuvent être acceptées ou rejetées par vos peuples. Nous espérons qu’en temps voulu nous serons à même de faire sortir vos peuples des ténèbres dans lesquelles ils se trouvent. Ces ténèbres ne sont pas nécessaires. Vos peuples peuvent rejoindre les n’tres dans la lumière du Père infini, ainsi que vous nommez cet état de conscience de l’unité de la création.

Nos sommes là pour vous aider à comprendre. Et, mes amis, vos peuples ont besoin de comprendre. En vérité, mes amis, c’est là tout ce dont vos peuples ont besoin, c’est là tout ce qu’il y a. Car, quand cette compréhension est acquise, tous ce qui est, est acquis. Car tout ce qu’il y a c’est un état d’esprit.

Vos pensées, mes amis, sont en vérité tout ce qu’il y a car sans vos pensées il n’y a rien. Vos pensées régissent tout ce dont vous faites l’expérience. Et c’est pour cela que nous sommes là: pour vous aider à penser.

Car beaucoup, beaucoup de générations ont été plongées, dirais-je, dans un faux monde. Dans un monde de pensées, vide de sens. Vos peuples n’ont pris conscience de rien. Vos peuples, tout comme les formes inférieures de vie, si vous les nommez ainsi, sur votre planète, ont agi par ce que vous appelleriez l’instinct. Ils ont émis ce que nous pourrions qualifier de philosophies intellectuelles, qui sont en vérité dénuées de sens car, mes amis, vous ne disposez d’aucune base pour comprendre ce qui peut être défini comme intellectuel.

Dans leur grande majorité, vos peuples n’ont pas pris conscience de la seule source de compréhension qui aurait pu les libérer des souffrances de l’existence physique dans lesquelles ils se trouvent actuellement. Nous sommes ici pour tenter d’aider, de diverses manières, chacun de vos peuples à trouver le chemin qui le reconduira au Père et à la création véritable.

Ceci peut être accompli par n’importe lequel, n’importe lequel de vos peuples, n’importe quand. C’est simplement un choix individuel. Beaucoup a été donné, sous de nombreuses, très nombreuses formes, aux gens de cette planète. Il en est résulté beaucoup d’incompréhension. La majorité de ce qui a été donné à vos peuples a été enregistré et est devenu base des diverses religions en activité sur votre planète en ce moment. Mais, mes amis, nous voyons que presque tout a été mal interprété. Pour cette raison, nous tentons rarement de communiquer des concepts de vérité sous ce vous qualifiez de forme ou mode verbal, car très peu est accompli. Les erreurs d’interprétation survenues dans le passé se produiraient dans le présent.

Nous nous appuyons dès lors sur une méthode plus satisfaisante de communication, une méthode qui ne dépend pas de l’interprétation de vos langages. Nous sommes à même de contacter vos peuples directement, mentalement. Mais nous ne pouvons les contacter que s’ils se rendent disponibles à nos contacts. Il n’est pas nécessaire qu’ils réalisent qu’ils se rendent disponibles à nos contacts: il faut seulement qu’ils apaisent leur mental conscient et se rendent réceptifs à nous.

Pour ceux d’entre vous qui sont au courant de nos desseins, nous suggérons ce que vous appelez la méditation, car de cette manière vous vous rendrez réceptifs à ce que nous avons à vous offrir. Nous offrirons seulement des suggestions. Nous offrirons seulement des concepts. Nous n’imposerons jamais notre volonté à vos peuples. Car ceci, mes amis, reviendrait à contrevenir à ces lois que nous essayons d’expliquer ou de faire passer dans la conscience de ceux qui habitent cette planète en particulier.

Nous voyons que sur cette planète, l’homme s’est plongé dans des créations ou jouets intellectuels qu’il a élaborés pour se distraire. Ces créations peuvent être ce que vous appelez votre gouvernement mondial ou vos créations scientifiques. Elles ne sont en vérité d’aucune conséquence et sont, naturellement, éphémères dans l’expérience de leurs créateurs. Vous n’avez qu’une seule chose qui ne soit pas éphémère. Vous n’avez, mes amis, que vos pensées à garder pour toute l’éternité, comme vous la nommez.

Vos pensées, mes amis, sont tout ce qu’il vous faut développer et ce qui vous appartient réellement. Le corps physique dans lequel vous vous trouvez en ce moment ne vous appartient pas vraiment, et est éphémère. Tout ce que vous créez, que ce soit matériel ou intellectuel, est éphémère.

Vos peuples ont une tendance à se laisser absorber par ces choses éphémères dont j’ai parlé. Ils ont tendance à devenir dépendants, dirais-je, de choses qui sont en vérité de très peu d’importance.

Aujourd’hui, vos peuples s’adonnent à ce que vous nommez votre politique, vos sciences, vos affaires, et aux affaires de votre monde. Telle est la situation sur cette planète depuis de nombreux siècles. Vos peuples se sont tellement immergés dans l’étude de ces conditions transitoires qu’ils ont véritablement perdu ce qu’ils ont reçu de leur Créateur.

Nous essayons de donner à vos peuples la conscience de ce qui n’est pas éphémère. Nous essayons de donner à vos peuples ce qui réveillera une conscience qui est en fait tout ce qu’il y a. Car, mes amis, la vérité est tout ce qui dure, la conscience, mes amis, de la véritable création du Père infini. Cette création, mes amis, n’est pas une création futile; n’est pas une création insignifiante; n’est pas une création qui sera éphémère dans le faisceau infini de ce que vous appelez le temps.

L’individu peut choisir à tout moment [de suivre le bon] sentier du véritable développement, ou bien il peut continuer à investir ses pensées dans ce qui n’est pas réellement important. Il a été dit à vos peuples par votre dernier grand instructeur que: “quand je suis devenu un homme, j’ai laissé derrière moi ce qui appartenait à l’enfance”. Une interprétation de ceci, mes amis, c’est ce que j’ai essayé de vous donner.

Il n’est possible de comprendre ce que nous essayons de vous donner que si vous vous rendez disponibles à nous par la méditation, parce que les mots que nous sommes forcés d’utiliser pour parler dans votre langue sont totalement inadéquats pour transmettre les concepts que nous voulons tenter de vous présenter. Car, mes amis, la première chose que nous voulons tenter de faire c’est de vous aider à prendre conscience de la création.

Cette création, mes amis, est négligée par vos peuples. Voilà quelque chose qui nous est difficile à comprendre. Nous ne parvenons pas à comprendre comment vos peuples peuvent se tenir à la surface de ce que vous appelez une planète, et entièrement ignorer la création du Un Infini. Car cela, mes amis, c’est tout ce qu’il y a. Il n’y a rien d’autre que cette création, cette infinie création du Père infini. Cette création, mes amis, est de loin plus fantastique qu’aucun des jouets de votre civilisation.

Prenez conscience de ceci en tout premier lieu, mes amis. Utilisez votre temps à méditer et à contempler la véritable création; ce qui est vous et ce qui vous entoure. Prenez conscience de ce que nous essayons de vous transmettre. Vos peuples ne sont même pas conscients d’eux-mêmes. Cette conscience grandira à mesure que vous vous rendrez disponibles par la méditation. A mesure que cette conscience se développera, vous harmoniserez davantage vos pensées avec les desseins de notre Créateur à tous. A mesure que vos pensées deviennent alignées, vous commencerez à faire l’expérience de ces desseins. Ceci a été expérimenté par certains de vos peuples. Cela peut se produire n’importe quand et dans n’importe quelle incarnation physique, comme vous dites, et ceci peut vous être arrivé à vous en tant qu’individu lors d’une expérience précédente.

Nous vous suggérons d’utiliser pleinement l’opportunité que vous avez dans cette expérience pour, dirons-nous, revitaliser cette prise de conscience. Nous avons des difficultés à utiliser cet instrument. Car il n’y a pas de mots dans votre langue. Il n’y a pas de concepts dans votre langue pour cette communication.

Nous pouvons seulement vous suggérer qu’il y a plus, bien plus, au-delà de ce dont votre civilisation est en train de faire l’expérience. Nous ne pouvons que vous suggérer des méthodes de réalisation et d’expérience qui sont bien plus satisfaisantes. Nous serons heureux de travailler individuellement avec chacun d’entre vous. Tout ce qui est nécessaire c’est que vous désiriez notre aide.

Mes amis, je vais suggérer que vous réfléchissiez à ce qui est écrit dans vos saintes écritures: “Cherchez et vous trouverez. Frappez et l’on vous ouvrira”. Ces mots vous indiquent, mes amis, qu’il faut d’abord que vous désiriez davantage que ce qu’il est possible d’expérimenter physiquement. Il faut, mes amis, que l’individu cherche d’abord. Cette recherche, mes amis, est nécessaire. Cette recherche, mes amis, est le seul but réel de votre existence physique. Un temps infini, comme vous le nommez, est disponible. L’individu peut commencer sa recherche n’importe quand. Ceci fait, de l’aide dans cette quête sera donnée en proportion directe, pourrions-nous dire, de cette recherche. Chaque cas sera fonction de l’individu.

“Cherchez d’abord le royaume des cieux, tout le reste vous sera donné de surcroît”. Mais il faut d’abord chercher. Cela est tout à fait nécessaire.

J’espère, mes amis, que j’ai pu vous rendre service ce soir. Je ne peux pas vous prouver actuellement que je suis ce que je dis être et si je le pouvais, en vérité cela ne ferait aucune différence. Car si je me tenais parmi vous, si je vous parlais, si je vous tendais la main, si je vous touchais, cela ne ferait aucune différence. C’est un sujet individuel, mes amis, et ce sera toujours un sujet individuel. Car vous, et seulement vous, êtes à même d’agir sur votre manière de penser. Car cela c’est vous, mes amis. Les miracles qui se produisent autour de vous dans votre vie quotidienne sont de la routine pensez-vous, mais ce sont véritablement des miracles.

Vos peuples considèrent qu’ils doivent avoir quelque chose de différent de l’expérience en ce bas monde, ils veulent appeler cela miracle. C’est pour cette raison et quelques autres que nous trouvons qu’il est nécessaire que nous restions à l’écart de vos peuples.

Prenez conscience du miracle de la création autour de vous, qui est vous. Quand vous y parviendrez, alors peut-être que nous vous rencontrerons de manière plus tangible.

A présent je vais vous quitter. Je suis Hatonn. Je vous laisse, mes amis, dans l’amour et la lumière de Celui qui est Tout. Adonai. Adonai vasu borragus.