Il y a quelque temps, ceux de Q’uo ont opéré une distinction entre le “mental du monde” et le “mental du cœur”. Q’uo décrit le “mental du monde” comme le mental analytique qui juge, et que nous avons été conditionnés à utiliser presque exclusivement. Ils décrivent le “mental du cœur” comme étant une conscience d’amour. Corroborant la pensée de Q’uo, cette information est à présent répandue dans différents domaines qui confirment que le cœur physique est bien plus qu’une pompe: c’est également un cerveau spécialisé ayant des fonctions endocrines électromagnétiques et neurologiques perceptives. Nous voudrions aller plus loin dans l’information. Q’uo a déjà communiqué pour nous aider à ouvrir notre cœur en expliquant comment déplacer la focalisation primaire de notre conscience du mental du monde vers le mental du cœur, dans ses deux aspects: physique et métaphysique, en attribuant au cerveau, qui fonctionne comme un ordinateur, un rôle mieux approprié à sa conception: celui d’un assistant.

(Transmission par Jim)

Je suis Q’uo et nous saluons chacun d’entre vous dans l’amour et la lumière à travers cet instrument. C’est pour nous un grand honneur et un grand plaisir de pouvoir vous parler cet après-midi. Comme toujours, nous voudrions vous demander de faire appel à votre discernement lorsque vous écoutez nos paroles, et de vous assurer de n’accepter que celles avec lesquelles vous vous sentez à l’aise, car nous ne souhaitons placer aucun obstacle sur votre chemin. Nous vous remercions pour cette faveur, mes amis.

Aujourd’hui vous avez posé une question concernant la différence entre le “mental du monde” et le mental et fonctionnement du cœur, ainsi que la manière dont on peut accéder au “mental du cœur” et prendre conscience du fonctionnement général de cet organe central particulier de votre véhicule physique. Nous sommes très heureux de répondre à cette question et allons commencer en suggérant que pour la plupart d’entre vous la nature du “mental du monde” est très bien connue car chacun de vous a été éduqué, dirons-nous, avec ce mental car c’est le moyen par lequel les entités de vos divers pays, villes et régions se familiarisent avec ce que l’on attend d’un être qui grandit dans votre culture, ou en fait dans n’importe quelle culture, mes amis. C’est le moyen par lequel le mental collectif de la population de votre culture est transmis à chaque génération suivante de manière à ce qu’il y ait une certaine espèce d’ordre disponible pour la culture tout entière, et dont les attentes sont spécifiquement transmises par vos proches, c’est-à-dire vos entités parentales, vos enseignants, vos amis, vos voisins, etc. De nos jours, cela se fait avec grand succès grâce à l’usage croissant des médias électroniques, ce qui assure que le message de normalité est bien diffusé, dirons-nous, et absorbé par le complexe mental qui est traité par le cerveau physique.

Donc, chaque entité commence par l’incarnation physique des éléments de base du processus de développement de l’un de ceux, nombreux, qui peuvent être consultés pour pouvoir comprendre quels sont les ingrédients permettant d’être accepté à l’intérieur des différents segments de votre culture. C’est ainsi que l’on est à même de profiter de diverses opportunités d’éducation et de socialisation, de profession et de disposition de moyens aidant la famille qui s’agrandit. Ce processus est conçu comme cyclique et enrichi à mesure que chaque génération engendre de nouveaux rejetons. Ceci, vous en êtes bien conscients, est la dynamique du mental qui fait en sorte que l’entité qui souhaite avancer sur un autre chemin rencontre une certaine résistance, disons. Car chaque entité, aussi bien préparée soit-elle à poursuivre la subjectivité culturelle est également le terreau, disons, dans lequel grandit l’identité individuelle qui cherche à s’exprimer par des moyens nombreux et variés. À l’occasion, le ‘soi’ trouve cette subjectivité culturelle difficile sinon pesante, lorsque cette identité individuelle adopte des aspects d’expression qui ne sont pas compris généralement par la culture dans son sens large, ou peut-être pas non plus par la culture au sens plus étroit de la famille et des amis. Chacun a dans son cœur le désir, dirons-nous, de progresser sur le “chemin du chercheur”, d’en savoir davantage sur la signification de la vie, les ‘pourquoi’ et les ‘comment’ qui ne sont pas très couverts par le “mental du monde”. C’est là que le mental, le fonctionnement du cœur est le plus important.

Maintenant nous allons transférer ce contact vers celui connu comme Steve. Nous sommes ceux de Q’uo.

(Transmission par Steve)

Je suis Q’uo et je suis avec cet instrument. Le complexe sociétal auquel vous participez tous comporte un ensemble complexe d’attentes qui, ainsi que nous l’avons suggéré, ne correspondent la plupart du temps pas précisément au processus d’ouverture à la grande expérience que chaque individu perçoit comme un besoin et un désir à un certain niveau de son être. Le fossé, dirons-nous, qui existe entre le monde tel qu’il a été présenté normativement au ‘soi’ qui a des aspirations, et le monde tel qu’il est perçu comme s’exprimant à partir de l’intérieur profond du ‘soi’ qui a des aspirations, est un fossé qui est entretenu par beaucoup de choses articulées de nombreuses manières, et maintenu tel par de très nombreux facteurs.

Parmi ces facteurs, nous voudrions attirer l’attention sur deux tendances majeures: la première (provenant de ce qu’on peut appeler les jugements de valeur qui se sont accumulés dans votre complexe sociétal) a pour résultat un ensemble restreint d’exigences qui sont présentées à chaque ‘soi’ individuel de manière à ce que, pour être digne, le ‘soi’ doit se conformer à un modèle d’individualité qui est déjà en place.

Il se fait que ce modèle d’individualité ne convient virtuellement jamais parfaitement à aucun ‘soi’ individuel, et il en résulte que chaque ‘soi’ individuel, quasiment sans exception, a l’impression, dans l’un ou l’autre coin de son être, qu’il a mal agi, qu’il est indigne. Lorsque ce jugement pèse lourdement sur le ‘soi’, il fait se contracter, se rétracter vers l’intérieur, et se rétrécir en un petit nœud (pour ainsi dire) la délicate membrane qui constitue la peau du ‘soi’ embryonnaire. Dans cette condition, le ‘soi’ embryonnaire se trouve enfermé dans un centre du cœur qui n’est pas un centre et qui est incapable de s’exprimer en tant que cœur. Il reste cependant des dépôts, des traces, des résidus de jugement et des fragments de jugement, ainsi que des sentiments d’insuffisance qui persistent d’une expérience à l’autre et s’accumulent au fil du temps, pour former souvent une croûte très rigide.

Le ‘soi’ embryonnaire trouve un certain degré de sécurité en se cachant sous cette croûte, mais en même temps il s’y sent piégé. À chaque expérience où le jugement du monde est accepté et maintenu à l’encontre du ‘soi’, la croûte devient plus dure, plus cassante et plus oppressante pour le ‘soi’ qui préfèrerait être libéré de cette sorte d’attente exigeante que le monde semble lui imposer sans cesse.

Toutefois, ce ‘soi’ emprisonné n’est pas sans ressources propres. Sans cesse il fait des efforts pour trouver tout autour de la croûte de petites ouvertures qui vont lui donner de la vie et qui vont laisser entrer la lumière du monde même lorsque la lumière intérieure du ‘soi’ commence à filtrer vers l’extérieur. À chaque nouvel acte d’acceptation du ‘soi’ par le ‘soi’ la croûte s’amincit jusqu’à ce que, au fil du temps, lorsque ce processus est consciemment engagé, la croûte puisse devenir assez mince pour ne plus retenir le cœur dans un espace confiné et que ce cœur puisse se dilater et informer le monde de son amour. Lorsque le cœur s’étend vers l’extérieur, vers le monde qui aime, ce monde est réfléchi sous forme d’amour, tendrement, et le cœur se met alors à chanter le chant qui est sa langue d’origine, pour ainsi dire.

Ainsi que nous l’avons dit, il existe une seconde source de contraction de l’énergie du cœur, et cette source se trouve à une plus grande profondeur. Elle représente les expériences qui se sont révélées trop douloureuses pour que le ‘soi’ émergent puisse les amener à être ressenties. Il y a alors une tendance à postposer, si vous voulez, le sentiment des pensées, le sentiment des sentiments, le sentiment de la douleur qui fait très souvent partie du processus catalytique que chacun ici vit quotidiennement.

Toutefois, les sentiments postposés ne sont pas des sentiments qui disparaissent pour toujours. Les catalyseurs postposés restent dans le centre du cœur comme du travail qui reste à faire, et un cœur chargé de beaucoup de catalyseurs non traités, de sentiments non éprouvés, est un cœur qui se sent chargé et lourd, et qui souffre de contraintes de sa propre fabrication. En un certain sens, mes amis, nous vous dirons que ces catalyseurs sont parmi les plus difficiles que vous aurez à traiter, car vous ne pourrez pas y travailler sans ouvrir le cœur, et chaque acte d’ouverture du cœur, chaque acte de relâchement du muscle du cœur, est un acte qui libère aussi les émotions refoulées, les souvenirs refoulés, les contraintes refoulées, qui ont été ressentis à un moment ou l’autre comme étant trop difficiles à gérer.

L’ouverture n’est donc pas toujours entreprise dans un état de joie absolue. Très souvent, l’ouverture du cœur montre au ‘soi’ des choses que le ‘soi’ n’a pas été capable d’avouer qu’il les porte: la douleur et l’angoisse ou le chagrin. Mais la guérison de l’angoisse est quelque chose que seul le cœur peut accomplir. Vous ne pouvez pas guérir l’angoisse de l’âme par une pensée correcte, pas plus que vous ne pouvez guérir un cœur endommagé par un acte de cognition spécifique.

Le cœur est l’organe de l’acceptation. Il ouvre la porte sur un monde qui est aimant en son noyau, mais nous dirons qu’il y a, dans cet amour, de nombreuses couches de ce que vous vivez comme des émotions, et les émotions ne paraissent pas immédiatement être d’une nature aimante ou être de la nature de ce qui encourage une plus grande ouverture du cœur.

Dès lors, le premier acte d’ouverture du cœur peut très souvent mener rapidement à une réaction ayant pour effet de le refermer ou de restreindre la zone dans laquelle le cœur se permet de s’ouvrir. Ceci, mes amis, est le moment où nous vous encouragerions à rechercher le plus petit acte qui puisse être appelé de la foi, car dans ce petit acte se trouve la folle espérance que dans l’angoisse peut encore se trouver de la joie; que dans le désarroi peut encore se trouver du contentement; que dans la peur, dans l’horreur, dans l’agonie, peut encore se trouver de l’espoir.

Plus on apprend à s’attendre à de la joie en conséquence de sa simple capacité à espérer, plus on est capable de relâcher ce muscle du cœur, et plus on est capable de permettre à l’acceptation d’accumuler de l’acceptation jusqu’à ce que le cœur sente qu’il est un organe de réception du flux et du reflux de l’énergie cosmique à l’intérieur du ‘soi’ individuel. C’est un flux rafraîchissant pour le ‘soi’ qui s’est trop longtemps senti contraint (tant de l’extérieur à cause du lourd poids du jugement sociétal, que de l’intérieur à cause du poids des expériences non traitées et apparemment non traitables). Lorsque le vent cosmique est autorisé à souffler à travers le cœur, pourrions-nous dire, et que le cœur lui-même apprend à exprimer les rythmes de l’univers, l’univers lui-même peut de plus en plus être vu comme se trouvant à l’intérieur, et le ‘soi’ individuel éprouve de moins en moins le besoin de se percevoir comme quelque chose qui doit se maintenir par une résistance à ce qui se trouve à l’extérieur.

Le flux naturel du cœur correspond et fait écho au flux naturel du cosmos. Il existe de nombreuses manières de découvrir ce flux. L’artiste le découvre dans l’acte de création; le naturaliste le trouve dans l’acte de participation à la nature; et ceux qui participent aux activités sociétales le découvrent dans le flux naturel du donner et du recevoir lorsque l’on offre ses services à d’autres pour qui la réception de ces services est leur gratitude, qui à son tour alimente le flux de celui qui a donné. Donner, recevoir, et donner encore constituent le grand flux auquel chaque complexe mental/corps/esprit peut participer et participe de plus en plus à mesure que le cœur se met à s’ouvrir. Dans l’ouverture du cœur on peut faire l’expérience de la guérison, et dans la fermeture du cœur on fait toujours l’expérience de la restriction, non seulement du mental mais aussi du corps.

Dans votre société, mes amis, il existe tellement de facteurs qui contrarient l’ouverture du cœur qu’il ne peut pas être surprenant que tant de difficultés du cœur se trouvent exprimées par ce que vous pouvez appeler des “maladies du cœur”. Parfois vous pouvez progresser vers une ouverture du cœur simplement en apprenant à relâcher le corps. Lorsque vous tentez de relâcher le corps il peut parfois être difficile de commencer par le cœur lui-même car, après tout, il s’agit d’une fonction corporelle que vous appelez autonome, c’est-à-dire que c’est une fonction qui ne peut généralement pas être directement contrôlée par un acte de conscience. Mais si en méditation vous détendez d’abord les pieds, en leur permettant de reposer confortablement et doucement sur le sol, en leur permettant de servir de récepteurs de cette énergie qui afflue de votre terre vers le haut de sorte qu’elle monte dans vos mollets, dans vos genoux et dans vos cuisses, et dans la partie inférieure du torse, qu’elle monte encore en traversant votre plexus solaire pour arriver enfin à votre cœur (qui peut alors être perçu comme ayant relâché une sorte de tension qu’il ignorait entretenir), alors en faisant cela vous avez effectivement accompli dans une manifestation physique une analogie avec ce dont nous avons discuté en relation avec les composantes plus métaphysiques ou mentales du processus d’ouverture du cœur. .

La résolution d’ouvrir le cœur doit prendre racine dans le mental, car le mental est l’original du complexe mental/corps, mais aucun mental ne peut être montré à lui-même sans le principe de manifestation qui est appelé le corps. Lorsque le mental est résolu dans son cœur à relâcher les contraintes qu’il a entretenues, le corps n’est que trop satisfait d’obéir et renvoie vers le cœur une joie due à la détente de la tension qu’il avait entretenue pendant tellement longtemps.

Cette expérience d’ouverture du cœur peut survenir très lentement, ou parfois elle peut survenir très précipitamment. Nous constatons que si l’expérience est trop soudaine elle peut parfois conduire à une sorte de réaction ou de recul qui a pour effet de refermer le cœur quand il le faut. Il est donc bon, mes amis, d’étudier la pratique de l’ouverture du cœur afin qu’elle puisse devenir quelque chose de durable. Un cœur ouvert de manière stable est une ressource à nulle autre pareille pour le chercheur, car c’est une plateforme sur laquelle tout travail ultérieur de nature positive peut être élaboré. C’est cet acte d’acceptation du ‘soi’ par le ‘soi’ et du monde par le ‘soi’, ainsi que le sentiment d’être accepté par le ‘soi’ et le monde, qui permet à l’activité la plus radieuse de commencer à se manifester.

Dans votre monde, une personne qui a le cœur ouvert est un joyau rare, et un joyau qui n’a pas de prix. Mes frères et sœurs, nous vous recommandons d’avoir le projet d’ouvrir le cœur, car c’est un ornement pour la Création tout entière lorsque vous le faites.

Je suis Q’uo, et nous voudrions à présent quitter cet instrument dans l’amour et la lumière et retourner vers celui du nom de Jim pour achever notre communication avec vous aujourd’hui. Adonai.

(Transmission par Jim)

Je suis Q’uo, je suis à nouveau auprès de cet instrument et salue une nouvelle fois chacun dans l’amour et la lumière par l’intermédiaire de cet instrument. C’est un honneur pour nous de demander maintenant s’il peut y avoir d’autres questions auxquelles nous pourrions répondre.

Puis-je en poser une, Q’uo?

Je suis Q’uo. Bien sûr, mon frère. Pouvons-nous demander quelle pourrait être cette question?

Existe-t-il un ensemble particulier d’exercices que vous pourriez recommander dans le but d’ouvrir le cœur?

Je suis Q’uo, et j’ai pris connaissance de votre question, mon frère. Nous recommanderions que vous trouviez des passages de nature particulièrement expressive concernant le cœur, écrits par d’autres auteurs qui l’ont étudié, en vous concentrant peut-être sur quelques paragraphes, et puis que vous contempliez la signification de ces messages régulièrement, peut-être quotidiennement. Lorsque vous sentirez que vous avez digéré mentalement l’essence du message, alors, en état de méditation, prenez ces fruits de votre mentalisation et permettez-leur de prendre le devant de la scène si nous pouvons nous exprimer ainsi. Permettez-leur de passer du mental dans les sentiments, dans les intuitions, dans le domaine plus proche du cœur.

Trouvez plus qu’un ou deux de ces passages. Utilisez-les en conjonction avec de nouvelles mentalisations et méditations jusqu’à ce que vous sentiez que vous avez équipé votre centre du cœur de toutes les caractéristiques, dirons-nous, de l’amour inconditionnel, du don et de la réception de cet amour. Vous pourriez peut-être en faire une expérience personnelle si vous pouvez alors trouver un ami ou un membre de la famille qui pourrait peut-être apprécier et être désireux de poursuivre une discussion et une élaboration de nature mentale à partir de ces sentiments et expressions cristallisés d’amour inconditionnel.

Utilisez les réactions de la famille, des amis, etc. pour enrichir encore l’activité du centre du cœur de manière à amorcer la pompe, dirons-nous, sans vouloir faire de jeux de mots. Vous serez alors à même de sentir le flux qui commence à surgir dans le centre du cœur de sorte qu’il y aura, à l’intérieur de ce centre, une réponse automatique à vos activités quotidiennes. Lorsque vous verrez ou entendrez une situation qui tire sur les ficelles du cœur, pourrions-nous dire, permettez au cœur de réagir. À ce qui a peut-être été négligé ou réprimé dans l’expérience passée, permettez de s’avancer et de partager cette énergie naissante d’acceptation, d’amour dans votre propre être, avec un autre être ou situation. Mes amis, votre monde a, si nécessaire, beaucoup de ces situations aisément accessibles au travers de vos médias d’actualités. Cependant, nous sommes aussi très certains que chaque entité a dans son propre monde d’expériences personnelles, des zones qui pourraient avoir avantage à recevoir les offrandes d’amour de votre centre du cœur.

Ce que nous recommandons c’est que vous vous familiarisiez de plus en plus avec les qualités d’amour dans un sens inconditionnel et avec les impressions qu’elles peuvent laisser après que leurs paramètres descriptifs mentaux aient été pris en considération. C’est le sentiment qui est le plus important ici, car lorsque vous passez du mental du monde au mental du cœur, vous avez à faire à des émotions qui ne peuvent être exprimées dans aucun autre centre que celui du cœur. Le cœur est en fait de la même nature que celle d’un muscle. Lorsque vous exercez ses qualités d’amour inconditionnel et très compatissant, ces qualités sont renforcées et votre capacité d’en faire l’expérience et de les exprimer est elle aussi renforcée.

Mon frère, y a-t-il une autre question sur ce thème?

Non, merci, c’était très bien.

Je suis Q’uo. Nous vous remercions, mon frère. Y a-t-il une autre question à présent?

Q’uo, une question brève pour moi. Nous avons un ami très cher, dont le nom est Morris, chez qui une maladie particulièrement pénible a été diagnostiquée. Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour contribuer à son processus de guérison?

Je suis Q’uo et j’ai pris connaissance de votre question, mon frère. Il est toujours utile dans tout processus de guérison, de s’engager dans un état mental et réel de méditation et de prière qui envoie des pensées et des énergies d’amour et de guérison vers celui qui souhaite cette guérison. Nous pouvons faire remarquer cependant, que c’est toujours à l’entité et à son propre ‘soi’ supérieur, dirons-nous, de décider comment ces énergies seront utilisées. Il est donc bon de les envoyer avec l’espoir du succès futur de cet envoi de bienfaits de guérison, mais aussi en exprimant la volonté qu’ils soient utilisés de n’importe quelle manière efficace et utile à l’objet des sentiments de guérison lorsque ces énergies sont envoyées.

Y a-t-il une autre question, mon frère?

Existe-t-il une méthode pour augmenter l’efficacité de l’envoi et de la réception, que ce soit en termes de qualité ou de quantité, ou des deux?

Je suis Q’uo et j’ai pris connaissance de votre question, mon frère. Nous observons que divers moyens d’envoi de ce genre peuvent être utilisés, non seulement en ce qui concerne l’attitude de prière, ou de méditation, ou des pensées qui sont projetées, mais peut-être aussi en ce qui concerne la simple communication par vos moyens normaux, que ce soit pas courrier ou par courrier électronique où vous pouvez exprimer de manière claire et concise les sentiments que vous éprouvez, en ouvrant un canal, dirons-nous, pour la communication claire et la réception réciproque de celui du nom de Morris, de manière à ce qu’une perception claire puisse être obtenue tant de son état que de ses pensées à ce sujet.

Y a-t-il une autre question, mon frère?

Pas de ma part, merci Q’uo.

Nous vous remercions mon frère. Y a-t-il à présent une dernière question?

[Longue pause]

Je suis Q’uo. Nous avons beaucoup apprécié l’expérience de parler de vos préoccupation dans ce cercle de recherche. C’est une telle joie pour nous de voir des esprits dévoués s’assembler en ayant le cœur et le mental ouverts, et partager, créer les plus belles des vibrations d’amour sur les plans de temps/espace qui en vérité atteignent vos cieux. Nous félicitons chacun pour le dévouement à la recherche qui vous a amenés ici et vous a assemblés en un groupe de recherche.

Nous voudrions à présent prendre congé de ce groupe et de cet instrument. Nous laissons chacun de vous, mes amis, dans l’amour et la lumière ineffable du Créateur infini unique. Nous sommes connus de vous comme étant ceux de Q’uo. Adonai, mes amis, adonai vasu.