La question de ce soir est: « cette planète abonde en modèles, voies, et façons de comprendre le Créateur, la Création, et la quête spirituelle, chacun de ces modèles étant susceptible d’une large gamme d’interprétations et la plupart de polarité mixte. Il y a un large éventail de systèmes d’informations spirituelles qui sont extérieurs au ‘soi’, comme La Loi Une, le christianisme, le bouddhisme, l’hindouisme, la pensée New Age, pour n’en nommer que quelques uns, qui sont imprimés ou communiqués d’une manière ou l’autre au ‘soi’. De manière générale, quelle est la relation idéale entre celui qui cherche la vérité et les informations concernant la vérité qui proviennent de sources extérieures au ‘soi’? Comment est-ce que le chercheur peut situer ces informations à l’intérieur du ‘soi’ de manière à ce qu’elles soient transparentes à la seule véritable autorité intérieure et ne deviennent pas des obstacles? »

(Retransmission par Carla)

Nous sommes ceux connus de vous comme étant le Principe de Q’uo. Salutations dans l’amour et dans la lumière du Créateur infini unique au service duquel nous venons à vous ce soir. Mes amis, c’est un grand honneur d’être appelés à nous joindre à votre cercle de recherche et nous sommes heureux de partager nos pensées avec vous au sujet d’une relation appropriée entre le chercheur et les expressions extérieures d’information et d’inspiration. Comme toujours, nous voudrions demander à chacun de faire appel à son discernement pendant que vous écoutez nos pensées. Si nous pensées vous paraissent utiles, alors sans hésiter mettez-les à profit, mais toute pensée qui ne vous paraît pas particulièrement utile est une pensée que nous vous demandons de laisser de côté, car nous ne voudrions pas être un obstacle sur votre chemin, ni interrompre, ni interférer avec votre processus d’évolution spirituelle. Nous apprécions hautement que vous fassiez usage de ce discernement car il nous permet de nous sentir à l’aise quand nous partageons nos pensées, sans devoir nous préoccuper d’une éventuelle transgression quelconque de votre libre arbitre, et nous vous remercions vivement pour cette considération.

La question de ce soir a trait à la relation appropriée de celui qui cherche avec les diverses choses qu’il peut entendre ou lire, en provenance de toutes les différentes sources qui offrent des systèmes de pensée philosophiques, métaphysiques, spirituels ou religieux et, dirons-nous, des systèmes de croyance proposée. Vous pouvez bien deviner, de ce que nous venons de suggérer en ce qui concerne l’usage de votre discrimination, que nous ne voyons pas comme approprié qu’une entité embrasse un quelconque système de pensée au point que le processus de recherche de la vérité soit arrêté. Les raisons de cela sont multiples, et nous irons dans plusieurs directions en parlant de cet intéressant sujet.

En prémisse fondamentale, nous voudrions dire que chacun d’entre vous a en lui ce que vous pouvez appeler grosso modo la vérité, bien préservée et abritée en sûreté à l’intérieur de vous. Vous êtes une créature qui fait partie du principe divin et dans chacune des cellules de votre corps se trouve la vérité. La Création à l’intérieur et à l’extérieur de vous est emplie de la vérité. Vous demeurez dans un environnement qui est, d’une manière inhérente et fondamentale, imprégné de vérité.

En même temps, depuis le tout début de votre incarnation, les énergies de votre culture se sont employées à instiller en vous une série de vérités extérieures de type conventionnel, c’est-à-dire: les vérités de votre culture. Vous avez appris comment vous comporter en écoutant les parents instructeurs qui vous offrent une longue liste de standards auxquels aspirer et grâce auxquels on peut se sentir normal.

Nous ne désapprouvons pas ce niveau de vérité extérieure. Apprendre les conventions de toute société est utile à celui qui souhaite traverser une incarnation sans troubler les sensibilités de ceux qui l’entourent. Cependant, ces conventions extérieures de vérité ne se préoccupent pas des questions plus profondes de l’identité, de l’essence, et du but.

Le chercheur qui veut aller au-delà des conventions est alors poussé, par ces mêmes suppositions conventionnelles, à étudier et lire des paroles de sagesse laissées par des sages du passé. Là non plus nous ne critiquons pas, et nous ne rabaissons pas l’étude de la métaphysique ou de sujets spirituels; ainsi que l’a souligné celui qui a posé la question, il y a un vaste éventail de pensées intéressantes et stimulantes à prendre en considération quand on fait l’effort d’aller au delà des conventions du travail, des loisirs et de la famille pour trouver une raison plus profonde, une essence plus profonde du ‘soi’, et une connaissance plus profonde de l’identité de soi.

L’exercice, dirons-nous, qui consiste à considérer les pensées de philosophes et d’auteurs en spiritualité est souvent très utile pour amener le mental à une série de points de convergence, chacun d’eux élargissant l’angle de vue et approfondissant le sentiment de résonance et de clarté.

L’utilisation de l’intellect est nécessaire dans la poursuite de telles études, et l’intellect accompagné de nourriture intellectuelle forment un ensemble agréable et ordonné pour le mental. Il y a un cheval à enfourcher: le cheval de la pensée intellectuelle, et il y a des endroits où l’on peut se rendre à dos de ce cheval, des visites à faire aux diverses intéressantes pensées de diverses entités. Nous avons dit souvent, par l’intermédiaire de cet instrument, que l’intellect est un instrument utile qui vous a été donné pour que vous l’utilisiez et non pour que vous l’ignoriez ou l’abandonniez. Cependant, la conduite générale des entités qui sont engagées dans une quête intellectuelle est une tendance à laisser le cheval les mener, au lieu que ce soient elles qui se montrent maîtres du cheval. Il vaut peut-être mieux penser à des équivalents modernes du cheval, comme la voiture. Vous ne voudriez pas que ce soit la voiture qui choisisse l’endroit où aller dans cette voiture. Il est sage d’être le maître de cette voiture et de la diriger vers où l’on souhaite se rendre, à la vitesse la plus appropriée au voyage.

C’est pourquoi, nous suggérons fortement que le processus de ratiocination intellectuelle soit un processus dont le chercheur ait pleinement conscience, afin qu’il ne soit pas entraîné dans le jeu des mots et des idées au point que la vérité ne soit plus le point focal de la recherche.

Le chercheur dispose d’outils dont il n’a peut-être pas conscience, et nous voudrions à présent examiner un peu ces outils. Nous suggérons souvent que les entités suivent la voie de la résonance quand elles se mettent en recherche. Que ce soient nos paroles ou celles de n’importe quel autre auteur ou orateur qu’entend ou lit le chercheur, nous encourageons les chercheurs à suivre la voie de résonance.

Votre voie de résonance est unique. Quelle que soit la sagacité de votre instructeur, quelle que soit l’inspiration de l’écrit, il n’y a pratiquement aucune chance pour que tout ce qu’un instructeur ou auteur déterminé qui vous donne à penser, résonne pour vous. Idéalement, les concepts que vous suivrez seront les concepts qui, dès la première lecture ou audition, éveilleront chez le chercheur une sorte de réminiscence, comme s’il savait déjà mais était heureux que cela lui soit remis en mémoire.

Dans cette recherche de résonance il faut se rappeler que la nature du langage est une limitation inhérente. Il est deux fois limité.

D’abord il est limité en ce sens que des mots doivent être assemblés pour faire des phrases, des phrases doivent être assemblées pour faire des paragraphes, et ainsi de suite. Chaque mot est étayé par un petit univers d’inférences qui enrichissent la collection des mots par le contexte de chacun des mots placés dans sa ligne de courant de pensée. Cependant, ils restent finis et limités de façon inhérente.

Il est limité une seconde fois parce que le mental ne fonctionne pas sur la base de mots mais bien sur la base de concepts. Les concepts sont infinis. Cependant, ils ne peuvent être exprimés par le mental humain et sortis dans la manifestation extérieure des mots que par un procédé de traduction qui fonctionne un peu comme une cuisinière roulant la pâte d’un concept, la découpant en figurines de biscuits, et façonnant des mots plats qui gonflent à la cuisson pour devenir ce concept traduit. Inutile de dire que beaucoup est perdu dans la traduction.

Cependant, il y a une qualité rédemptrice dans les mots en ce sens qu’ils sont liés au souffle humain. L’action de parler est une action qui permet de pénétrer dans le mental archétypal, amenant alors de nouveaux mots pendant que le chercheur concentré s’essaie à des pensées nouvelles et tente de comprendre des concepts du mieux qu’il peut avec son mental humain. C’est pourquoi, la structure même des paroles est sacrée et le souffle est sacré, de sorte qu’il y a un bonheur à travailler avec des mots qui inspirent.

Comme l’a dit celui qui a posé la question, l’habitude ou la pratique de prononcer le nom du Créateur paraît être une pratique spirituelle très puissante qui donne de nombreux fruits. Celui qui a posé la question utilise pour désigner le Créateur: « le Créateur infini unique ». D’autres entités peuvent utiliser des noms tels que Jésus, Bouddha, Allah, Ram, ou un autre des innombrables noms divins qui tous ont la capacité de porter une essence et une énergie qui dépasse de loin l’apparent dépouillement du son et de la prononciation. Cela est dû à la combinaison de ces lettres mises ensemble d’une certaine manière pour former des mots, et l’utilisation du souffle humain crée des sillons qui s’enfoncent dans le mental en éveillant une résonance venant des profondeurs des racines du mental et de la conscience.

L’enseignement bouddhiste raconte l’histoire d’un saint qui a gardé des cailloux dans sa bouche pendant vingt années, jusqu’à ce qu’il ait appris à garder le silence. Et nous apprécions cet effort d’arriver à l’aptitude de maîtriser et de se sentir à l’aise dans le silence. Dans le silence il n’y a pas besoin de découper en forme les concepts qui parlent au mental profond avec la petite voix tranquille de l’esprit. Dans le silence il n’est pas besoin de faire fonctionner la machinerie de l’intellect. Dans le silence on peut se reposer et laisser la vérité monter jusqu’à la conscience depuis l’invisible infini qui est le cœur de chaque chercheur et aussi le cœur de l’univers.

Du fait qu’il existe différentes sortes de chercheurs ayant des habitudes différentes et des structures mentales différentes, nous ne sommes pas à même d’offrir une seule voie sûre qui convienne à tous pour trouver la juste attitude par rapport aux mots et aux informations inspirants qui ont été donnés. Certaines entités ont une relation confortable avec des structures philosophiques et parviennent à parcourir de nombreux chemins sans être influencées par l’élégance de belles paroles ou l’esthétique de constructions plaisantes. D’autres entités sont extrêmement sensibles à la beauté, à la sagesse, ou à l’ineffable qualité de profondeur qui peut être perçue, et sont ainsi influencées, dans leur propre processus de recherche de la vérité, par de belles constructions séduisantes.

Pour le premier type d’entités il y a peu de danger qu’elles se laissent subjuguer par une belle religion ou un beau système spirituel. Pour le second type d’entités il y a danger que le ‘soi’ se perde et s’identifie à son mental si ce mode de pensée est suivi.

Il pourrait être argué qu’il est bien utile de s’établir dans un cadre de pensée et de travailler à l’intérieur de celui-ci à l’exclusion de toutes les autres pensées ou modes de penser car tous les chemins ne mènent-ils pas nécessairement au Créateur infini unique? La pureté et la concentration de la recherche ne sont-elles pas plus faciles à atteindre quand le chercheur se base sur les dogmes d’une religion ou les limitations de certains systèmes philosophiques?

Nous voudrions suggérer qu’il est tout à fait possible d’arriver à la moissonnabilité dans cette école des âmes de troisième densité en suivant n’importe lequel des systèmes spirituels de ce vaste éventail. Cependant, votre requête va plus profond que la question de la moissonnabilité. Votre requête atteint le cœur de la nature de l’évolution spirituelle et de ce fait nous disons que le moyen le plus utile et approprié de s’associer à toute parole et systèmes de paroles extérieurs, c’est de travailler avec eux consciemment, en créant toujours de l’espace autour des mots, des pensées, des comparaisons, et ainsi de suite, afin de donner à l’âme de la marge pour le non-dit, le non-… nous corrigeons cet instrument… l’ineffable, le nouménal, car il y a autour de chaque parole inspirée beaucoup de non-dit qui crée l’ambiance dans laquelle le mot parlé résonne de vérité.

Il est très sage de la part des chercheurs en spiritualité de prendre légèrement et en riant tout ce qui concerne l’étude et la pensée. Celui du nom de R a dit précédemment qu’à mesure que les décennies se sont écoulées et que sa recherche spirituelle a mûri il est devenu de moins en moins intéressé à formuler des questions et à recevoir des réponses dans sa recherche de la vérité. C’est en vérité une marque de maturité spirituelle quand l’intense désir de connaître la vérité se transforme graduellement en un intense désir d’être la vérité.

Ce n’est pas qu’il n’y ait pas une vérité ou qu’il n’y ait rien à chercher. Bien au contraire, mes amis. Cependant, ce qui est recherché c’est le cœur du ‘soi’. Le voyage vers la vérité est semblable à un voyage extérieur une recherche extérieure, un vannage de la moisson en recherches d’autres personnes afin de trouver sa propre vérité à soi. Et cependant, en fin de compte c’est comme si diverses choses tombaient dans le mental du chercheur, dans le cœur du chercheur, et dans l’expérience du chercheur, jusqu’à ce que, graduellement, la vérité elle-même monte jusqu’à la surface de la conscience et que se produise la réalisation, cette réalisation que ce monde est un monde parfait, que cet environnement est un environnement parfait pour déverrouiller le portail qui ouvre sur l’inconnu.

En troisième densité, au-delà de toutes les choses que vous apprenez et croyez, il y a une gloire dans la prise de conscience finale que rien ne peut être su et que tout parle du Créateur infini unique. Paradoxe après paradoxe, mystère après mystère affluent et créent des motifs autour de soi. Et des idées et images puissantes et glorieuses passent à travers la prise de conscience; et finalement le chercheur est devenu transparent à lui-même quand il trouve en son propre centre la conscience de l’amour inconditionnel, cet amour qui l’a créé lui, cet amour qui a créé l’univers, cet amour avec lequel lui-même et tout ce qui l’entoure, visible et invisible, font un.

Nous voudrions encourager, peu importe le mode de recherche, un sens du tempo et du rythme pour l’entité en recherche. Ce ne doit pas être une vitesse établie pour l’étude, ni une limite que l’on s’impose à soi-même chaque jour ou chaque semaine en ce qui concerne le temps de recherche et le temps de méditation. Car les entités fluctuent sans cesse. A une certaine période de la vie d’un chercheur il peut être nécessaire et utile de bourrer le ‘soi’ de nouvelles pensées. En une autre période il peut être très sage de s’abstenir d’étudier. De manière générale nous dirions qu’il faut un équilibre entre l’utilisation de l’intellect et l’utilisation du silence. Car dans le silence on peut permettre au mental (d’une manière concentrée et consciente) d’asseoir les informations et l’inspiration qui ont été reçues.

Certaines périodes quotidiennes de silence constituent une puissante ressource pour le chercheur qui souhaite faire davantage que réfléchir aux grandes questions. Car au-delà de la pensée se trouve la vérité. Au-delà de l’intellect se trouve le discernement. Au-delà du savoir se trouve la connaissance des mystères.

Le périple du chercheur est un périple sacré, beau, et souvent difficile. Il y a de nombreuses périodes de lumière et d’ombre, de croissance et d’attente, et toutes sont également profitables. Faites confiance à vous-même, faites confiance à votre sens de la résonance et ensuite goûtez votre recherche, vos questions, vos réponses, et tout ce qui remplit une vie vécue en fonction de voies et intérêts spirituels.

Pouvons-nous demander s’il y a une suite à cette interrogation avant que nous ouvrions cette séance à d’autres questions? Nous sommes ceux de Q’uo.

Pour ma part, il n’y a pas de suite à la question principale, Q’uo.

Nous sommes ceux de Q’uo et nous avons pris conscience du fait que nous pouvons à présent ouvrir cette séance à d’autres questions. Y a-t-il une autre question maintenant?

Q’uo, J’ai un extrait de transmission de La Loi Une. Ra dit: « la mesure du niveau d’activité de rayon d’une entité est le lieu où l’énergie extérieure du pôle sud est rencontrée par l’énergie intérieure positive qui se meut en spirale. A mesure qu’une entité se polarise, ce lieu s’élève. Ce phénomène a été appelé ‘kundalini’ par vos peuples. Tenter d’élever l’endroit de cette réunion sans réaliser les principes métaphysiques du magnétisme dont il dépend équivaut à inviter un grand déséquilibre ».

Je ne parviens pas à me figurer cela, Q’uo. Je me demandais si vous pourriez définir ce que sont les « principes métaphysiques du magnétisme dont il dépend ».

Nous sommes ceux de Q’uo et nous avons pris connaissance de votre question, mon frère. Les principes du magnétisme concernent la polarité. La force d’un champ polarisé est la force qui est sensible tant au pôle positif qu’au pôle négatif d’un aimant de sorte qu’il est compris qu’il y a de la vertu et de la valeur dans ce pôle sud, comme ils l’appellent, et le pôle nord de l’information ou de l’inspiration recherchée en franchissant le portail de l’infini intelligent.

Il arrive souvent que des entités qui ont soif et faim de nourritures spirituelles se contentent d’essayer de monter de plus en plus haut dans le corps énergétique, vers les mondes de haute communication, de haute sagesse, de haute foi, et ainsi de suite, sans accorder une attention égale à l’énergie qui passe par le corps énergétique à partir du pôle sud, depuis la Terre elle-même.

Le groupe connu comme ceux de Ra suggérait que quand on cherche à ouvrir les chakras supérieurs il est tout aussi nécessaire de continuer à accorder plein honneur, respect et attention à la santé et à la vitalité des chakras inférieurs aussi, et d’apprécier et rendre honneur à l’énergie qui provient du Créateur infini unique et va vers le Soleil, pénètre dans la matrice de la Terre, et se dirige ensuite de la Terre au travers des pieds et de la base du système des chakras qui se trouve à la base de l’épine dorsale en quantité infinie. Il doit y avoir une appréciation continue et égale de cette énergie et de tout ce qu’elle suggère en fait de mortalité et de limitation car, en vérité, la mortalité est une limitation et la présence d’un chercheur sur le plan terrestre participe de cette mortalité et de cette limitation.

Le fait de réaliser que le bail sur le plan terrestre est limité rend beaucoup plus doux de réaliser qu’on est vivant et conscient. Au lieu de tenir en mépris les choses de la Terre parce qu’elles sont illusoires, celui connu comme Ra suggère que l’on adopte, jouisse, et prenne part aux choses qui sont passagères, en se délectant et en célébrant les énergies de chaque chakra. La sexualité, les relations, les relations de groupe, toutes ces énergies sont estimables et toutes ces énergies demandent un entretien quotidien, attentionné, pour que chaque chakra brille et soit complètement ouvert à l’énergie du Créateur infini unique, alors qu’il monte de la Terre en spiralant vers le haut. C’est seulement quand ce mouvement vers le haut est complètement établi et en bon fonctionnement que le chercheur peut alors faire appel, à partir du portail qui donne sur l’infini intelligent, à l’inspiration qui vient du monde infini et invisible du temps/espace.

Pouvons-nous répondre plus amplement, mon frère?

Cela est très satisfaisant; merci, Q’uo.

Nous sommes ceux de Q’uo et, mon frère, nous sommes très heureux d’être satisfaisants. Pouvons-nous demander s’il y a une autre question à présent?

Q’uo, J’ai une autre question qui demande une clarification et qui concerne les transmission de la Loi Une. Lors de cette transmission Don questionnait au sujet des pattes repliées du sphinx sur les images du tarot, et Ra avait répondu: « la position est supposée montrer deux choses, l’une étant les possibilités duelles des personnages caractérisant le temps qui y sont dessinés. L’arrêt est possible dans le temps, tout comme l’est la progression. Si un mélange est tenté, alors la jambe droite, celle qui bouge, sera fortement gênée par la jambe qui est pliée ».

Pourriez-vous simplement définir que signifient ‘arrêt’ et ‘progression’ dans cette sélection?

Nous sommes ceux de Q’uo et, mon frère, c’est une longue histoire, dirons-nous. Mais il y a des raisons pour lesquelles ce personnage fait partie de votre processus actuel, et par conséquent nous devons vous laisser travailler sur cette énigme. Nous somme désolés, mais nous devons passer cette question.

Y a-t-il à présent une dernière question avant que nous ne quittions cet instrument? Nous sommes ceux de Q’uo.

Pas de ma part, Q’uo.

Une dernière pour moi, Q’uo. Cette question vient d’un ‘ami’. Cet ‘ami’ voudrait savoir si l’activité appelée ‘masturbation’ dépense de l’énergie vitale qui serait autrement disponible pour l’activité de chakras supérieurs.

Il y a deux réponses à cette question, car il y a deux niveaux de masturbation. Le corps physique de votre espèce est naturellement sexuel et possède une aptitude naturelle à la sexualité. Si une entité ne se masturbe pas quand une période de temps est arrivée, pendant laquelle l’énergie sexuelle s’est accumulée au point qu’il y a un besoin de la libérer, la masturbation se produit sans aucune aide; elle se produit comme un rêve pendant la nuit, ou quelque chose de cette nature. Donc, à ce niveau, se masturber quand il y a accumulation d’énergie sexuelle sans qu’il y ait d’issue appropriée avec un partenaire a peu d’impact sur la quantité d’énergie ou essence de ‘soi’ qui est préservée pour le travail métaphysique.

Cependant, il faut faire remarquer ici, en ce qui concerne l’engagement du ‘soi’ dans la recherche spirituelle, qu’il y a un aspect magique accessible au chercheur souhaitant consacrer l’énergie qui serait autrement utilisée à un soulagement sexuel, à l’enroulement de l’anneau, dirons-nous.

Cependant, il est également vrai que le sexe en lui-même peut être utilisé, que ce soit dans la masturbation ou dans le congrès sexuel avec un partenaire, pour exprimer de la polarité positive et vénérer le Créateur infini unique. Tout dépend du mental ici. Selon ce que le chercheur ressent par rapport à sa sexualité, il peut trouver plus adroit de travailler en s’abstenant de s’exprimer sexuellement, en fonction de ce qu’il ressent s’il réserve son énergie sexuelle à l’enroulement de l’anneau magique. Ou bien, selon l’entité et sa personnalité, ainsi que la façon dont il se sent par rapport à son corps, il peut trouver utile de créer une masturbation dédiée spirituellement, au cours de laquelle l’objectif est d’avoir l’orgasme qui est l’état constant du Créateur infini unique, cette intensité inexprimable et indicible d’amour inconditionnel qui est l’extase qui se trouve au cœur de l’expérience de l’orgasme.

Le corps est la créature du mental. Nous encouragerions votre ami à ne pas se focaliser sur le sexe avant qu’il ne se soit focalisé sur qui il est, sur la manière dont il exprime son essence, la manière qu’il considère comme la plus résonante pour gérer son humanité dans le sens de sa sexualité de rayon rouge.

Pouvons-nous poursuivre notre réponse, mon frère? Nous sommes ceux de Q’uo.

Non, l’ami (hem!), vous remercie.

Nous sommes ceux de Q’uo et nous vous remercions, mon frère, pour ces questions des plus intéressantes. Et nous remercions chacun de ce groupe d’avoir réservé du temps, de l’attention, et de l’amour. Cherchez la vérité. Celui connu comme R a dit qu’il ne comprenait pas vraiment comment nous pouvions trouver que vous avez tant de courage et tant d’intégrité simplement parce que vous vous assemblez pour chercher la vérité, et cependant nous vous disons, mon frère, que c’est en vérité une entité rare, que celle qui est capable de se prendre sérieusement pour une partie méritante et estimable du Créateur.

Dans votre rêve sur la planète Terre il n’est pas du tout évident de voir la valeur de cet objectif de recherche de la vérité. Nous trouvons que c’est une chose merveilleuse quand des entités telles que vous le font, et nous vous remercions pour cet effort. Nous ne pouvons vous dire assez combien sont belles vos auras mélangées dans cet espace sacré que vous avez créé ensemble.

Il est temps à présent de quitter cet instrument et ce groupe, avec nos remerciements, notre bénédiction, et notre amour. Nous vous laissons dans l’amour et dans la lumière du Créateur infini unique. Nous sommes connus de vous comme étant le Principe de Q’uo. Adonaï. Adonaï vasu.