(posée par G.) Q’uo, ce soir nous voudrions demander quelle est la différence entre deux activités fondamentales: le channeling et le devenir. Pour être plus explicites, quelle est la différence entre canaliser de l’énergie (que ce soit l’énergie de personnalité magique, de conscience rayonnante, d’énergie de guérison, d’énergie d’inspiration, d’énergie de communication, ou d’énergie d’amour) et devenir cette énergie, devenir le choix suprême de la prise de conscience non-duelle dans laquelle se dissolvent sujet et objet de sorte qu’il n’y a rien que le ‘soi’ à canaliser et que tout est vu à nouveau comme un? Spécifiquement, en termes de structure de la personnalité, quelle est la différence entre l’entité qui canalise et celle qui est en devenir? En termes de mouvement d’énergie au travers des systèmes de chakras, quelle est la différence entre l’entité qui canalise et l’entité en devenir?

(Retransmission par Carla)

Nous sommes ceux du Principe connu de vous comme étant celui de Q’uo. Salutations dans l’amour et dans la lumière du Créateur infini unique au service duquel nous venons à vous ce soir. C’est un grand honneur et un grand plaisir d’être appelés vers votre cercle de recherche pour cette séance de travail et nous sommes certes heureux de partager nos humbles pensées avec vous au sujet de la canalisation et du devenir.

Comme toujours, nous voudrions demander que chacun de vous qui entend ou lit ces humbles mots fasse usage de son discernement dans le choix des pensées que vous allez garder et celles que vous allez laisser de côté. Nous ne nous attendons pas à ce que nos commentaires tombent juste pour chaque chercheur. Par conséquent, nous demandons votre indulgence quand vous faites le choix de ce que vous écarterez parmi les choses que nous vous offrons. Nous vous remercions pour cette considération qui nous permettra de parler sans nous préoccuper du risque d’interférer avec votre processus.

Nous souhaitons remercier celui connu comme G pour cette question. Elle nous permet d’examiner les deux voies de recherche qui peuvent être qualifiées de « passive et réductrice » et « active et inclusive ». La voie passive et réductrice est celle que nous caractériserions comme la Voie du Bouddha, la voie des yogis. Le début de la voie est vu comme un chaos, comme un monde de confusion et de souffrance. La fin de la voie est vue comme la fin de la souffrance et la réduction de tout le chaos dans le ‘zéro’ du mental désencombré et vide.

Par ailleurs, la voie de l’activité et de l’inclusivité peut être caractérisée comme la voie occidentale, qui est comprise par cet instrument comme étant la voie chrétienne, où il y a un parcours dont le début est semblable à celui de la voie bouddhique: plein de chaos et de souffrance. Cependant, la fin de cette voie est vue comme un parcours menant à de plus en plus de plénitude de contenu, de plus en plus de connexion au monde, jusqu’a ce que ce monde devienne saint ou sacré.

Dans sa manière de décrire le voyage spirituel, la Confédération, comme vous nommez notre groupe, incline davantage vers la voie inclusive que vers la voie réductive. Cependant, toutes deux sont des aspects du même processus et de la même réalité sous-jacente, si nous pouvons utiliser ce terme dans le monde d’illusion qu’est la Création.

Dans l’activité de channeling, le chercheur qui choisit de devenir un canal s’affirme lui-même métaphysiquement en déclarant en termes concrets et absolus l’identité du ‘soi’ par rapport au principe conducteur pour lequel il vit et pour lequel, le cas échéant, il mourrait avec bonheur.

Ainsi ancré sur la terra firma de cette identité inébranlable du ‘soi’ qui est reconnue et respectée dans les mondes invisibles, le chercheur qui s’est offert comme un canal demande alors la source qui vibre en compatibilité avec cette identification. Par exemple, cet instrument défie toujours au nom de Jésus le Christ, en demandant le contact le plus élevé et le meilleur qu’elle puisse transmettre d’une manière stable et consciente de cette vibration. En fait, c’est nous, du Principe de Q’uo, qui avons spécifiquement créé ce principe pour répondre à la demande de cet instrument.

Pendant cette canalisation, l’instrument est dans un état de repos, au sens physique, ayant apaisé son corps physique au cours du processus d’harmonisation. La lumière/amour du Créateur infini unique circule au travers de ses chakras ouverts sans barrières ni obstacles, de sorte que le passage est ouvert par le rayon violet et que l’énergie passe sans discontinuer par ce passage depuis le pôle sud de l’entité jusqu’au pôle nord du passage et vers le bas depuis le pôle nord de ce passage jusqu’au chakra de rayon bleu de l’instrument. Là, les deux énergies se rencontrent quand cet instrument fait usage des énergies du chakra de rayon bleu de la communication claire et compatissante.

S’il s’agit de canalisation par un guérisseur, les mêmes descriptions s’appliquent, sauf que le siège de la rencontre de l’énergie qui traverse le passage et de l’énergie du pôle sud –de lumière/amour du Créateur–, se fait au niveau du chakra de rayon vert.

S’il s’agit de channeling de pur rayonnement de l’être, la même description est d’application, sauf que l’endroit de rencontre de l’énergie en provenance du pôle nord par le passage et de l’énergie de lumière/amour du pôle sud, se fait au niveau du chakra du rayon indigo.

Le chercheur en devenir, qui fusionne avec tout ce qui est, fait l’équivalent d’une retransmission de rayonnement de l’être, et la description serait la même que celle du channeler de ce rayonnement d’être: l’énergie du passage affluant dans le chakra indigo et y rencontrant l’énergie venue du pôle sud.

Cette description peut indiquer, à notre avis, qu’il n’y a pas de différence entre quelqu’un qui croit qu’il retransmet du pur rayonnement d’être et quelqu’un qui croit qu’il est en train d’entrer dans un état de non-séparation et de complète unité de toutes les choses.

Globalement parlant, et au vu de notre perspective, il n’y a en fait aucune différence. Nous ne pouvons pas parler en termes spécifiques parce que chaque entité a une vibration caractéristique et un mode de recherche caractéristique, qui créent des différences individuelles qui enjolivent mais ne contredisent pas ce que nous avons dit.

Nous voudrions attirer l’attention du chercheur sur le pouvoir de la culture et le pouvoir des mots. Alors qu’il n’y a pas de différence entre demeurer dans le rayonnement d’être, en tant que channeler, et devenir ce rayonnement d’être, ainsi que le chercheur bouddhiste qualifierait cette même activité, il existe de profondes différences culturelles qui créent des chercheurs orientés et informés de manières qui sont compatibles avec le milieu ambiant de leur culture.

De même, les mots ont un grand pouvoir. Ce qui est entièrement et infiniment plein, et ce qui est entièrement et infiniment vide, sont deux manières de décrire une seule expérience. Mais, puisque les mots ne peuvent concilier ou exprimer un paradoxe et ne peuvent qu’à peine indiquer la qualité de mystère, il est aisé pour un observateur de croire que les deux voies sont entièrement différentes et, peut-être, incompatibles.

En fait, les deux voies ne sont pas du tout incompatibles. Mais il faut, à celui qui demeure dans un corps, beaucoup d’expérience dans une incarnation pour voir au-delà des différences apparentes des deux manières de considérer le voyage spirituel et découvrir les techniques de recherche qui peuvent l’aider à maturer.

Cet instrument a fait de nombreuses expériences de devenir la lumière alors qu’il n’y avait pas d’observateur. Cet instrument a également fait l’expérience d’être dans la lumière, alors qu’il n’y avait toujours pas d’observateur. La différence entre les deux états de conscience est le quantum entre une sorte de lumière et l’autre. C’est-à-dire qu’il y a une gradation infinie de la lumière. Les deux états sont à une très petite distance l’un de l’autre, en termes de vibration. Et dans aucun de ces deux états cet instrument ne se rappelle avoir été capable de retrouver cet état pour être à même de pouvoir le décrire complètement à ceux de son entourage.

La question de savoir quelle sorte de différence de personnalité il peut y avoir entre quelqu’un qui cherche en tant que canal et quelqu’un qui cherche à devenir les qualités que le channeler cherche à retransmettre, est plus apparente que réelle. C’est-à-dire que quelqu’un qui est éduqué en immersion dans la culture du monde occidental sera culturellement attiré vers la voie active qui voit le ‘soi’ comme faisant quelque chose, même s’il s’agit simplement d’ouvrir le portail qui donne sur l’infini intelligent, tandis que quelqu’un qui est éduqué en immersion dans le milieu du monde oriental est enclin à voir la voie de l’adepte comme une voie de réduction et d’élimination jusqu’au zéro qui contient toutes choses.

Nous nous sommes beaucoup réjouis de l’utilisation, par vos peuples, du cercle pour représenter le zéro, car il représente à la fois rien et tout. C’est ce cercle spacieux de vacuité qui paradoxalement contient tout ce qui est.

Quand quelqu’un qui a été élevé en occident est attiré vers la voie du devenir plutôt que du channeling, ou de l’être plutôt que du faire, il est très possible que cette entité ait eu de nombreuses incarnations dans des cultures de l’orient. Et semblablement, quand un chercheur qui a été élevé en orient est attiré par la voie de l’activité, il est probable que cette entité a eu de nombreuses incarnations en occident. Les différences entre les deux personnalités sont culturelles et superficielles, tandis que les similitudes ou point communs sont profonds et durables.

Une fois encore, nous remercions celui du nom de G pour cette question, et voudrions demander s’il y a une autre question à ce sujet. Nous sommes ceux de Q’uo.

Pas d’autre question à ce sujet, Q’uo. Merci pour votre réponse.

Nous vous remercions, mon frère. C’est une grande joie de converser avec vous. Pouvons-nous demander s’il y a maintenant une autre question? Nous sommes ceux de Q’uo.

Oui, en effet. Il semble qu’à mesure que les densités succèdent à la troisième densité, celles-ci deviennent de moins en moins possibles à décrire, elles deviennent tellement éloignées de notre réalité qu’elles sont incompréhensibles pour nos facultés de compréhension. Cela étant dit, il serait sensé de supposer que, bien que fondamentalement différente, la quatrième densité serait très proche de la troisième densité dans le continuum d’expérience.

Dans cette éventualité, je voudrais demander si ceux qui résident en quatrième densité font l’expérience de ce que nous, en troisième densité, décrivons comme de la beauté. Si c’est le cas, comment est-ce qu’une entité de quatrième densité décrirait la beauté à une entité de troisième densité qui lui demanderait cette sorte d’information?

Nous sommes ceux de Q’uo et nous avons pris connaissance de votre question, mon frère. Le concept de la beauté est quelque chose dont vos philosophes ont débattu pendant longtemps, la grande question étant de savoir si la beauté est une caractéristique absolue ou bien si elle est subjective, relative et, comme le dirait cet instrument : « dans l’œil de celui qui la regarde ». 1

Cette question reste valable en quatrième densité. Et en vérité, aussi longtemps qu’il y a un centre de conscience tel que vous ou nous, cette question reste ouverte. Il semble que la beauté soit un absolu et cependant nous, non moins que vous, nous délectons de la beauté telle qu’elle est vue spontanément dans ce que cet instrument appelle ‘le moment présent’, d’une manière qui pourrait paraître nier la nature absolue de la beauté et la placer dans l’œil de celui qui contemple.

Il peut cependant être dit que, quand une entité passe de la troisième densité à la quatrième, les yeux sont ouverts à la nature et à l’harmonie véritables, de sorte que l’impact de la beauté est partout, sans qu’il y ait de possibilité, comme c’est le cas en troisième densité, d’être incapable de voir la beauté.

Nous croyons, sans pouvoir le dire avec certitude, qu’il existe une beauté absolue; il existe une qualité absolue qui peut être appelée beauté. Et nous croyons que cette qualité absolue de beauté réside dans le mystère du Créateur infini unique. Tout comme l’amour est absolu et a créé tout ce qui est, ainsi la beauté est une caractéristique qui dérive de l’amour. Dès lors, si vous (ou nous) voyiez avec les yeux du Créateur tout ce que vous voyez serait parfaitement beau.

C’est la caractéristique d’être d’une étincelle individuelle du Principe divin qui crée les couleurs et les filtres de perception qui amènent l’absolu dans le spécifique, l’individuel, et l’unique.

Qu’est-ce qui est vrai, mon frère? Est-il plus vrai que le chercheur cherche, sent et vit avec chaque fibre de son être la beauté d’un moment, d’un objet, d’une qualité, ou d’une essence qui échappe à la définition? Ou bien est-ce que la vérité affirmant que seul le mystère original et immaculé de la beauté absolue, est la vérité la plus grande?

Encore une fois, nous ne pouvons pas le dire, mais nous inclinons à penser que pour le Créateur, c’est la perception imparfaite et individuelle de la beauté subjective qu’Il trouve la plus intéressante, car la perfection ne peut rien enseigner, tandis que la perception et les distorsions uniques de la beauté imparfaite peuvent apprendre au Créateur beaucoup sur Lui-même.

Pouvons-nous poursuivre, mon frère? Nous sommes ceux de Q’uo.

Cela est très beau, Q’uo! C’était magnifique et répondait complètement à la question que j’avais, subsidiairement à cette question-là, et que je ne dois donc plus poser. Je crois que Jim a une question pour vous.

W dit ceci: « Je suis un prisonnier, et j’ai une tumeur. Pour répondre à cette situation je fais tout ce que je peux avec les informations et ressources auxquelles j’ai accès. Je suis en paix avec tout ce qui survient et, quelle que soit l’évolution des choses je sais que je sers l’amour en servant autrui de tout mon cœur. Si je meurs demain je serai en paix, sachant que j’ai fait ce qu’il fallait pour la première fois de ma vie.

« Dans le cadre de mon programme de guérison j’ai lu des informations de l’A.R.E. 2 intitulées: « Comment tuer votre cancer sans vous tuer vous-même ». Je médite sur les mots de Ra concernant le pardon, et je comprends pourquoi faire attention à ce qui touche à la nutrition peut constituer un petit rappel à mon mental et exprimer un plus grand respect de moi-même. Résultat : j’ai éliminé plusieurs aliments de mon régime, ainsi que le sucre et le café. Cependant, être en prison présente de grands désavantages car je n’ai pas d’alternative à la nourriture qui est servie ici, ni à l’eau potable très chlorée. »

« J’espère qu’éliminer ce que je peux suffira à toucher suffisamment mon mental, mon corps, et mon esprit. Surtout, je sais que mon travail le plus important est d’accepter ce qui est et de devenir ‘cette paix qui passe tout entendement’. 3

« Est-ce que Q’uo veut bien parler des principes spirituels impliqués dans cette situation et me proposer un point de vue qui m’aiderait à guérir? »

Nous sommes ceux de Q’uo, et nous avons pris connaissance de votre question, mon frère. Nous voudrions communiquer à celui connu sous le nom de W que la situation de maladie n’est pas simplement une chose physique ni même mentale, bien qu’il soit certain que la culture dans laquelle vous résidez voie la psyché ou le mental et les émotions ou le corps, et sente que ces deux énergies travaillant ensemble sont ce qui crée bien-être ou maladie.

Mais dans toute incarnation il y a une forme et une texture approfondissant et clarifiant graduellement les entendements qui créent pour ce chercheur la maison de vie qu’il va habiter.

Maladie et bien-être sont deux côtés ou deux extrémités d’une dynamique qui, pour beaucoup de ceux qui sont en incarnation, joue un rôle dans la forme et la texture générales de la vie. Par conséquent, quand on examine le mot ‘guérison’ on doit le placer dans un contexte plus large que ne le font les médecins de votre société. Car il y a toujours un niveau plus profond ou un contexte plus large dans lequel la dynamique de maladie prend place, et qui a besoin d’être observé.

Celui connu comme W a suggéré que travailler avec cette maladie avait créé pour lui une opportunité de passer par des prises de conscience et des apprentissages qui lui ont amené paix avec, et contentement de, ce qui est. Cet instrument a depuis longtemps pris conscience que la maladie a créé pour elle l’opportunité de faire davantage de travail intérieur à mesure qu’elle devient de moins en moins capable d’accomplir le travail du corps physique.

Alors, est-ce que la maladie doit être considérée comme quelque chose qui doit être ôté afin que le corps soit dans son intégralité? Ou bien est-ce que des remerciements sont à adresser pour l’opportunité de faire l’expérience du catalyseur en cours, qui fait passer de plus en plus sûrement dans le travail de l’esprit intérieur?

[Fin de la face 1 de la cassette]

(Retransmission par Carla)

Il y a des éléments de cette question auxquels nous ne pouvons pas donner de réponse parce que répondre interférerait avec le bon travail que celui connu comme W est en train de faire en ce moment à cause de ce catalyseur. Nous pouvons cependant dire que nous sommes d’accord avec celui connu comme W pour dire qu’il est en effet utile de créer, et même de ritualiser, les éléments de souvenance et de pardon qui ont été proposés dans la question.

L’élément de souvenance est ce qui ramène le chercheur à la présence du ‘soi’ et qui, de toute éternité, s’ouvre autour du ‘soi’. Dans ce moment présent il y a pardon; il y a prise de conscience de l’acceptation totale du ‘soi’ par le ‘soi’ et si ce moment est rappelé au souvenir mille fois par jour, ce n’est pas trop.

Les petits rappels dont a parlé celui du nom de W, ceux de veiller au régime et aux aliments, sont aussi un excellent moyen, de travailler avec le catalyseur offert. Nous recommandons à celui du nom de W de regarder d’un œil paisible les circonstances de la maladie et nous assurons celui connu comme W qu’il n’y a aucun autre résultat que la guérison.

Il y a la possibilité de guérir le corps, et il y a la possibilité de guérir le mental et les émotions. Il y a la certitude de la guérison de l’incarnation pour le chercheur qui ne craint pas et qui ne bronche pas dans des circonstances où d’autres seraient emplis de crainte.

La présence du Créateur infini unique est aussi proche dans ce que vous appelez ‘mort’ que dans ce que vous appelez ‘vie’. La conscience qui est votre essence est la même dans la vie et dans la mort, la mort étant une illusion qui est rapidement transcendée.

Pouvons-nous demander s’il y a une dernière question pour ce soir? Nous sommes ceux de Q’uo.

Pas de question pour moi, Q’uo. Je voudrais cependant ajouter que D a écrit aujourd’hui et a demandé de « remercier Q’uo pour moi », donc je passe ce message. Merci, Q’uo.

Nous sommes ceux de Q’uo et nous avons pris connaissance de votre commentaire, mon frère. En vérité, nous avons pris connaissance des pensées aimables et aimantes de l’entité du nom de D quand elle les a eues car, quand quelqu’un pense à nous, nous sommes là. Nous trouvons que cette entité est une grande bénédiction, tout comme nous le trouvons pour chacun de vous. Et nous vous remercions chacun pour votre beauté.

Nous laissons cet instrument et ce groupe rendre gloire dans l’amour et dans la lumière, dans la paix et dans la puissance du Créateur infini unique. Nous sommes connus de vous comme étant le Principe de Q’uo. Adonaï. Adonaï.


  1. « La beauté est dans l’œil de celui qui la regarde » est en fait une paraphrase de ce que dit Platon dans Le Banquet : « Que penser d’un mortel à qui il serait donné de contempler la beauté pure, simple, sans mélange, non revêtue de chairs et de couleurs humaines et de toutes les autres vanités périssables, mais la beauté divine elle-même? Penses-tu que ce serait une destinée misérable que d’avoir les regards fixés sur elle, que de jouir de la contemplation et du commerce d’un pareil objet? Ne crois-tu pas, au contraire, que cet homme, étant le seul ici-bas qui perçoive le beau par l’organe auquel le beau est perceptible, pourra seul engendrer, non pas des images de vertu, puisqu’il ne s’attache pas à des images, mais des vertus véritables, puisque c’est à la vérité qu’il s’attache? Or, c’est à celui qui enfante et nourrit la véritable vertu qu’il appartient d’être chéri de Dieu; et si quelque homme doit être immortel, c’est celui-là surtout ». 

  2. L’ A. R. E. (Association for Research and Enlightenment), dont l’adresse internet officielle est www.edgarcayce.org, est l’organisme qui conserve les archives de nombreuses retransmissions d’Edgar Cayce. Cet organisme propose, au chercheur en spiritualité, de nombreuses rencontres et ressources 

  3. Bible: Épître de Paul aux Philippiens 4:7 « Et la paix de Dieu, laquelle surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos sentiments en Jésus-Christ » (Bible Martin, en ligne)